Depuis plus de quarante ans (pratiquement deux générations), la consommation « récréative » du cannabis ne fait que croître au sein de la population française, avec une entrée de plus en plus rapide chez les jeunes, voire les préadolescents. Cette consommation se fait sous plusieurs formes y compris le shit. Sachez que le Shit est nocif pour la santé et est surtout interdit par la loi.
Est-ce que le shit au CBD existe vraiment ?
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On assiste à un vrai lobbying, bien souvent non avisé, très souvent du genre bobo, dont certains groupements de pression visent à faire croire au large public que le shit peut posséder quelques vertus thérapeutiques et que dans tous les cas, il est nettement moins nocif que le tabac pour ses poumons et ses artères, ce que ne manquent pas d’avaler les adolescents.
Les dangers encourus sont nombreux. En effet, il paraît désormais avéré que le fait de consommer du shit provoque des troubles psychotiques sans doute inexistants en dehors de ce type de pratique :
- Cette importante conséquence est probablement due à la fragilité génétique des sujets ;
- En effet, 10 % des jeunes ayant commencé leur usage de cannabis dès l’âge de 15 ans ont été atteints de schizophrénie au bout de dix ans, et sensiblement moins quand la consommation n’a pas débuté avant 18 ans ;
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À lui seul, cet effet indésirable devrait inciter à la réflexion, dans la mesure où les maladies schizophréniques représentent l’une des pires tragédies humaines.
L’existence du shit au CBD se ressentit par ses effets sur la mémoire
Par ailleurs, il est prouvé que les adolescents qui utilisent régulièrement du haschisch perdent leur intelligence une fois adultes. Chez les adolescents qui prennent habituellement du cannabis, la mémoire sur le court terme est profondément et de façon permanente altérée.
La prise de cannabis se traduit par un faible intérêt pour les études, un échec scolaire, un décrochage scolaire, etc. Par chance, à cette étape et sur ce terrain, à la différence de la psychose qui reste définitive, le cannabis ne provoque pas d’altérations irréversibles.
On constate également une dépendance, un phénomène d’isolement et un retrait social chez les grands utilisateurs. Le seuil rouge est atteint à partir du moment où des jeunes se mettent à fumer seuls. Le retrait social, la démotivation, les échecs scolaires ou professionnels ont bien entendu pour résultat le trouble dépressif que nous observons régulièrement.
Par ailleurs, la pratique de la fréquentation des dealers, indispensable pour se fournir, accentue le risque de plonger dans des consommations encore plus fortes et de fréquenter des environnements peu avenants.
Les effets secondaires témoignent l’existence du shit au CBD
La prise de shit au cannabis, notamment quand elle est associée à l’alcool, provoque en outre de gros soucis de motricité et augmente potentiellement le danger des accidents de voiture, un problème rencontré pratiquement tous les week-ends en sortant des boîtes de nuit.
Finalement, sur le plan médical, la situation est potentiellement grave. Chez les hommes, la consommation habituelle de shit au cannabis entraîne une diminution de la fertilité. Au cours de la grossesse, le cannabis peut nuire à la fonction cérébrale du fœtus, ce qui retarde le processus de développement du cerveau in utero, entraînant des répercussions que tout le monde peut imaginer. Enfin, le fait de fumer du cannabis accroît manifestement le risque de cancer.
Que dire des vertus ? La consommation de cannabis atténue l’anxiété, ce qui paraît incontestable, mais se fait au détriment surtout de la toxicomanie, ce qui est autrement plus déterminant et certainement plus menaçant que les médicaments calmants, lesquels ne sont pourtant pas sans danger.
Il faut comprendre que le traitement de symptômes comme celui de l’anxiété se doit d’être psychologique, parce que le corps a tendance à se paresser : en se faisant décharger par des substances chimiques, que ce soit sous forme d’alcool, de cannabis ou de calmants, il ne pense plus être capable de faire face avec ses propres moyens. Ce phénomène se nomme dépendance, ce qui entraîne une certaine accoutumance ou la nécessité de renforcer les posologies pour bénéficier des mêmes effets.